dinsdag 27 november 2018

JDB armoede

« Misère au borinage ». Le travail et la pauvreté comme figures de l'art belge plébiscité par la France de 1919 à 1939
https://journals.openedition.org/apparences/1111?lang=fr

Du côté flamand toujours, en dessin et/ou gravure, ce sont deux artistes gantois, Jules De Bruycker et Jan-Frans Cantré, qui s’illustrèrent particulièrement dans le domaine qui nous occupe. Jules De Bruycker représente, par exemple, une Vieille Femme15 en sabots et en haillons (1920, musée des Beaux-Arts, Gand), quand Jan-Frans Cantré grave sur le bois le désarroi des Ouvriers gantois16.


Dès 1924, fut organisée, à l’initiative des Nouvelles Littéraires, l’exposition de la Jeune Peinture belge au Syndicat de la Curiosité et des Beaux-Arts à Paris. Ce fut le premier accrochage « groupé » des écoles de Laethem-Saint-Martin, l’ancienne et la nouvelle, aux cimaises parisiennes. Les sujets affichés étaient loin d’être gais : Jules De Bruycker exposait des eaux-fortes intitulées Vieille Femme, Vieillard, Le Mendiant, Vieille, etc. ; Valerius De Saedeleer, Hiver en Flandre, Hiver et Jour d'orage en été ; Eugène Laermans, Les Mendiants et Les Déportés ; George Minne, Les Pleureuses et une Douleur maternelle ; Constant Permeke présentait quant à lui L'Étable, L'Étranger, Le Boucher et La Marchande de poissons ;Albert Servaes un Ecce Homo. L’ensemble du catalogue était de cet ordre51. L’exposition passa relativement inaperçue (sauf dans Les Nouvelles littéraires !), ou, quand ce ne fut pas le cas, fut incomprise.

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